La maladie des chevaux, leur invalidité voire même leur décès peuvent occasionner des frais importants. Selon la gravité des cas, une hospitalisation ou une invalidité permanente, payer de ses propres fonds peut devenir facilement une source d’endettement. Pour mieux affronter ces catastrophes, souscrire à une assurance est la meilleure solution.
Comparer les offres d’assurance
Toutes les maisons d’assurance veulent être notoires pour la qualité de leurs services auprès de leur clientèle respective. Elles se livrent dans une véritable bataille publicitaire pour accaparer le plus grand nombre de personnes et pour fidéliser leurs clients. De ce fait, elles proposent en option ou dans un pack complet le remboursement des frais générés par la maladie des chevaux. N’hésitez pas à consulter toutes les pages des concurrentes. Préférez les annonces claires à celles qui vous laissent sur votre faim. Vérifiez bien le bas de page. Il peut contenir des informations écrites en petite taille presque illisibles. Ce genre de contrat est absolument à éviter puisqu’il réserve souvent de mauvaises surprises.
Remplir les conditions demandées
Une fois que vous êtes sûrs d’avoir trouvé un assureur sérieux, compétent, fiable et rapide, vous pouvez lire attentivement les conditions affichées. Les exigences de base sont souvent les mêmes. L’âge, la valeur et le certificat vétérinaire permettent à l’assureur de mesurer sa capacité à assurer un cheval. En outre, il faut avoir souscrit au contrat d’assurance initial si la prise en charge des frais vétérinaires, de l’invalidité et du décès est une extension. Cependant, les conditions varient en fonction de l’évolution des situations et des établissements. Se référer uniquement aux conseils d’un ami, aux dires de son vétérinaire ou aux conditions classiques n’est alors pas conseillé.
Respecter les termes du contrat
Vous avez signé votre contrat d’assurance cheval. Vous êtes enfin tranquilles pour les années à venir. Lorsque votre cheval tombera malade, les frais engagés seront remboursés à hauteur du seuil conclu. Mais soyez vigilants, certaines assurances excluent les frais dentaires. D’autres ne prennent pas en considération les frais d’hospitalisation et les frais chirurgicaux, si la maladie des chevaux nécessite l’intervention d’une autre entité. Il faut également faire attention à la mauvaise foi. Les assureurs ont développé des armes contre ce comportement. Lorsque l’assuré leur semble suspect, ils peuvent décider de prendre en compte la valeur réelle du cheval comme base dans le processus de dédommagement. Ils paieront donc une somme inférieure à celle qui a été convenue.